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Réhabilitation d’un appartement haussmnanien situé dans le 10e arrondissement de Paris
Privé
75010 Paris
BELLA CASA
28 allée Vivaldi
75012 Paris
120 m²
Janvier 2017
Au fil des salles, le Rex Club déroule son fil narratif… Doux mélange de matériaux bruts et nobles, Lumière mises en scènes, aux sensations proches d’une Near Death Expérience, orchestrée par les Gazelles.
Elégants bars en miroirs facettés Guidé par l’envie d’une perte de repères, le Studio Gazelles invite à une déambulation dans un club à l’ADN préservé, usant d’un jeu audio-visuel exceptionnel pour offrir une expérience sensorielle inédite. Un design à la fois beau et pratique pensé pour permettre, tout au long de ce parcours immersif, une circulation fluide. Soucieuses de laisser le son ambiant et la physionomie des lieux guider l’émotion, les architectes ont imaginé une décoration brute, hommage à l’héritage culturel underground du lieu : « Le Rêve », cet ancien dancing chic devenu, à la fin des années 80, un repère-rave confidentiel, branché et anticonformiste. En ligne directive, une matière à sensations pour couvrir les anciens murs -en papier de verre rubicond : un béton gris, où s’encastrent à la verticale des arêtes de lumière. Vibrantes, colorées et rythmées par les DJ et les soirées, ces entailles éblouissantes entraînent, à la manière de fils conducteurs, vers les bars et la piste de danse. Tournée des bars, dans un parcours immersif : après les tours et détours d’un long couloir, la piste entre en scène, sur fond de résine noire -brillante comme un glacis- où se reflètent au sol les jeux de lumières hauts perchés galvanisés par la musique. Une scénographie imaginée par Matière Noire et mis en œuvre par AC3.
Aux extrémités du dancefloor de jais ? Deux bars, le bar principal à l’entrée du club et un second bar de l’autre côté de la piste, tous deux ceints d’arches lumineuses : des signalétiques qui, de façons instinctives, délimitent les contours de ces théâtres d’inox et de béton. Point d’orgue de la pièce, et pièce maîtresse du club, le bar principal est réalisé sur-mesure. Pure sculpture, son miroir noir en facettes incassables -taillées dans un travail de géométrie, à la fois vertical et horizontal- reflète les mouvements d’éclairage et décuple la sensation de désorientation spatio-temporelle… « LE CÉLÈBRE LOGO DU REX CLUB EST COULÉ DANS LA RÉSINE – BLANC SUR NOIR, COMME GRAVÉ DANS LA ROCHE. » La particularité qui, par son audace, séduira les habitués ? La disparition de la cabine DJ mythique du club. Ôtée mais pas écartée, celle-ci est remplacée par un booth modulable ; un cockpit de la musique -au design signé par Matière Noire- qui s’invite, au choix, sur les marches ou bien la piste, au plus près de ceux et celles qu’elle invite à faire vibrer. Soucieuses d’inciter au respect du Club et de cette sphère privée, les Gazelles ont misé, pour l’intégralité du lieu d’aisance, sur un marbre noir Saint Laurent : un matériau à l’image de cette rénovation, qui conjugue à la fois personnalité forte, résistance et élégance. « Le club reçoit également des conventions after show, defilés de mode, et autres concerts privés la journée. Nous devons pouvoir accueillir tous les publics et satisfaire tout le monde. »
La caisse –
Premier contact visuel avec le Club, elle pose les jalons de la singularité du lieu, avec un miroir courbé, d’où jaillissent et débordent des saillies de lumière, en perte de repères…
Le vestiaire –
Repensé dans un style futuriste et contemporain, avec un design épuré, entre lignes droites et cambrures de métal noir, il optimise non seulement l’espace, mais aussi le stockage, ainsi que les zones d’attente avec une borne plus large.
Le fumoir –
Plus accueillant, ce salon privé pour fumeurs s’habille d’un marbre noir brillant, ponctué d’effets de nuages… Évanescents, éphémères et fugaces comme une fumée qui s’exhale.
Sanitaires –
Affranchies des conventions, celles-ci misent sur un concept de sanitaires communicants. En lien : une large vasque centrale, soulignée d’une lame d’eau qui insuffle une forme de sensualité au lieu et délimite l’espace hommes/femmes.
Appartement familiale imaginé pour une famille avec deux enfants.
– Ambiance minimaliste et coloré –
Imaginant les scenarios et la possible évolution de vie de cette famille, le télétravail et les enfants grandissant, les besoins du logement évoluent d’une année à l’autre.
Voilà le résultat :
Lors de la première visite nous avons voulu optimisé l’espace de vie en supprimant les longs couloirs et en travaillant la lumière naturelle dans chaque pièce proposant une modularité d’espace aux clients.
Pour optimiser l’espace nous avons supprimé ce grand couloir de 9m² qui menée à une chambre pour en faire l’espace de vie principale. Véritable cœur névralgique de l’appartement, accessible depuis la porte d’entrée, c’est aussi le lieu où on se retrouve 3 fois par jours.
Mêlant la cuisine et la salle à manger. Cet espace est accessible depuis l’entrée.
L’espace classique haussmannien côté rue, a été redistribué en 3 espaces, le premier loge une chambre parentale avec une salle de douche privé, un espace salon cosy Tv et salle de jeux vidéo avec une belle bibliothèque intégrant un espace cocooning pour les enfants.
Une grande verrière coulissante peut disparaitre dans le mur pour ouvrir l’espace bureau et l’espace jeux dans un grand ensemble inondé de lumière depuis la façade principale.
Quotidiennement cet espace est le bureau principal de la propriétaire, qui sera peut-être amené à devenir une chambre lorsque les enfants ne voudront plus partager le même espace.
La chambre des enfants est conçue pour offrir deux espaces bien distincts avec leurs bureaux et leur lit en hauteur.
Délimités par des espaces couleurs en plafond. Des rangements de part et d’autre viennent optimiser les rangements nécessaires aux nombreux jeux d’enfants souvent inharmonieux.
Appartement familial imaginé pour une famille avec deux enfants dans un style Wabi-Sabi.
L’ensemble des pièces est tourné vers la mer, inondée de lumière c’est au son des vagues que nous avons imaginé ce projet. La beauté du naturel, avec un concept minimaliste, simple et rustique.
La répartition des espaces divisé en un espace jour et un espace nuit permet de profiter de la lumière naturelle dans tous les espaces.
Le salon pièce à vivre principale intègre une cuisine ouverte et un salon.
Ici on cuisine tout en bouquinant. La cuisine est réalisée en béton ciré dans des tons crème comme la bibliothèque, une unité de matière et de couleur permet de mixer les deux espaces à vivre dans une ambiance de sérénité.
Au-dessus de la cuisine une grande verrière permet d’apporter une vue traversante et la continuité de la lumière naturelle ce qui engendre une plus grande sensation d’espace. La chambre est optimisée grâce à ces meubles sur mesure en forme d’arche autour du lit et la tête de lit Wallwood design qui vient se loger au creux de cette alcôve mélange de bois et de béton ciré pour parfaire cette sensation de bien-être grâce à des matières chaleureuses.
La chambre des enfants est pensée comme un espace de jeux et de refuge. Grâce à un rideau disposé au milieu les enfants peuvent selon leur envie séparer l’espace.
Un grand espace dressing sur le mur permet d’optimiser l’acoustique entre les deux chambres et s’y loge un bureau pour le plus grand près de la lumière du jour.
Une cabane permet à la plus petite de jouer et de dessiner dans le même espace
La salle de bains réalisée sur mesure en béton ciré vient peaufiner cette ambiance minimaliste, naturelle et rustique.
PAI PARTNERS
Un accueil aux allures minimalistes
Le design épuré et minimaliste est à l’honneur pour l’accueil de la prestigieuse société PAI située au 232 rue de Rivoli, en face du Jardin des Tuilleries.
L’usage des matières nobles est mis en valeur par un dessin aux lignes simples et élégantes.
La borne d’accueil, massive, en granit noir du Zimbabwe a été dessiné et réalisée sur mesure grâce au travail commun de deux artisans menuisier et marbrier. L’atmosphère du hall est rehaussée grâce à des luminaires en métal perforé en laiton et en cuivre qui apportent une pointe de folie et de chaleur au design solennel de l’accueil.
Des volumes en exergue
Paris Xème arrondissement, on repense les transitions des espaces d’un appartement hausmannien.
La séquence d’entrée est marquée par une peinture sombre au mur qui se poursuit en plafond.
L’espace de la cuisine – salle à manger est réalisé dans un style industriel, la cuisine est séparée par une verrière en métal gris anthracite pour prolonger le regards au dela des cloisons, structuré autour d’un ilot central pour générer de la convivialité lors d’apéritifs entre amis ou des repas quotidiens.
Le salon, plus classique s’articule autour de la cheminée et des larges fenêtres donnant sur la rue. Les deux chambres sont séparées par un dressing sur mesure se terminant par un espace bureau-bibliothèque.
La salle de bain aux tonalités Kraft est optimisée de manière à pouvoir recevoir une douche et une baignoire.
CLIENT PRIVÉ
Un écrin poudré aux mille reflets
Douceur et volupté au coeur de cet appartement du XVIème arrondissement aux allures romantiques.
L’agencement originel de cet appartement a été conservé. Le mobilier sur mesure aux lignes résolument contemporaine assure les transitions entre les différents espaces de l’appartement.
Les éléments menuisés ont été réalisé grâce au savoir faire d’un artisan. Un dressing
a double entrée sépare l’espace chambre et la salle de bain, des espaces publics de l’appartement.
La salle de bains aux lignes géométriques est inspirée du des oeuvres cubistes de Piet Mondrian. Les murs habillés de marbre et les lignes minimalistes lui donnent des airs de boudoir contemporain. Une attention particulière a été portée sur une réinterprétation de la coiffeuse qui s’articule, par opposition aux coiffeuses tradition, autour d’un miroir de plain pied en opposition aux coiffeuses originelles.
La chambre, aux allures de haute couture est teinté rose poudrée et de luminaires italiens.
Le buffet suspendu dans le salon en chêne massif et les bibliothèques qui encadrent la cheminée d’origine, créent un dialogue esthétique entre l’architecture bourgeoise et les lignes contemporaines du mobilier.
L’architecture aux service de la mémoire
Au coeur du Vème arrondissement, un magnifique appartement Haussmanien a néces- sité une rénovation lourde après avoir subi un incendie ravageur.
Fortes de notre expertise d’architecte et d’architecte d’intérieur nous avons redessiné l’ensemble des espaces dans les moindres détails des moulures, des gravures, et des vitraux d’origine.
En association avec le cabinet Fevre et Gaucher nous avons travaillé pendant 15 mois avec les expert d’assurance pour autopsier, répertorier, compiler, disséquer et réécrire l’histoire de cette demeure afin de ressusciter l’âme de cet appartement.
Ces recherches minutieuses nous ont permis de repenser certains espaces tout en conservant la structure et la distribution de d’origine.
L’architecture haussmanienne est sublimée par les touches aux lignes contemporaines et des éléments menuisés sur mesure grâce au travail délicats d’artisans menuisiers. Les salles de bain et la cuisine ont été réalisées en partenariat avec Boffi.
Design opalin d’une suite parentale
Dans un immeuble moderne du XX arrondissement, on restructure les volumes d’un appartement.
La salle de bain ouverte sur la chambre offre un univers intimiste et épuré grâce aux tons clairs des matériaux et à l’usage du lin et du marbre de Carrare.
L’agencement astucieux du projet fait pénétrer la lumière naturelle dans chacun des espaces repensés. La vaste douche en marbre de carrare est ceinturée d’une paroi vitrée transparente.
La ville de Paris a lancé un appel à projet innovant « Réinventer paris »
Le projet répond aux besoins de logements et de services de proximité nécessaire au développement du quartier d’Ordener en plein renouveau.
La halle réhabilitée fera office de nouveau forum, scène d’une nouvelle manière de vivre ensemble.
Le projet se décompose en trois ensembles.
Un premier ensemble composé de bureaux associatifs, comprenant aussi un café-snac sur le toit du dernier niveau (roof top). Le deuxième d’une crèche accessible par un rez-de-chaussée entièrement libéré. Et un troisième ensemble situé en cœur d’ilot et abritant les différents type de logements (ULS « unités de logements spécialisées » intergénérationnel, logements sociaux, intermédiaire à l’accession).
Un ancrage temporel à préserver
Les enjeux du site sont liés dans un premiers temps à la typologie des deux parcelles qui sont séparés. Cela oblige à penser le projet architectural par séquences «cinématographiques» de progression. Ces séquences vont à l’inverse de l’objectif affiché en première phase qui est de créer un lien social, collectif et transgénérationnel. Ainsi tout l’enjeu sera de préserver ces objectifs, tout en permettant au projet de vivre au mieux sur le site.
S’implanter dans deux séquences urbaines.
Le projet s’inscrit sur deux dents creuses urbaine. Cette approche permet de travailler une implantation de deux cellules construites ayant un lien et une cour commune. Le fonctionnement s’inscrit dans une démarche de village, l’ensemble des fonctions sont positionnées dans les deux bâtiments qui se répondent.
Ainsi le travail d’inscription urbaine, nous autorise à combler les deux parcelles cadastrales en respectant un programme très diversifier qui révèle la réussite de ce projet : des logements étudiants et seniors, une crèche du côté de la rue P.Brousse, un cœur d’ilot végétal, des serres potagères verticales, un pôle médical et une champignonnière.
La start-up en vogue MOBISKILL
Ces anciens locaux de décors de Théâtre de 300m2, au coeur du 9eme arrondissement de Paris, étaient repartis sur 3 niveaux.
Le premier travail a consisté au décloisonnement de l’ensemble afin de définir une fonc- tion précise à chacun des niveaux.
Au premier étage de 223m2 sont associé l’énergie, la productivité, le lieu des décisions, des actions et des rencontres. Nous avons cherché à optimiser la rentabilité en propo- sant une large gamme de postures de travail : assis, debout, en marchant, depuis une tablette rabattable ou sur un canapé, le niveau propose l’ensemble de ces possibilités aux collaborateurs.
A ce même étage on trouve un espace de détente lounge qui peut se transformer en espace de « meet- up » pouvant accueillir jusqu’a 70 personnes assises.
Un chemin de câble en plafond permet la modularité des lieux de projection tout en apportant une touche industriello-contemporaine à l’étage des bureaux.
Au détour de l’escalier, on trouve 2 salles de réunions au design soigné: des luminaires en verre soufflé Tom Dixon, des écrans plats aux lignes épurées, des cloisons intégrale- ment vitrées sur les circulations.
L’énergie d’une société se retrouve aussi autour des grandes tablées qui accueillent les différents postes de travail.
En France le moment du repas est sacré. Le Rez- de-chaussée a été conçu comme un bar-restaurant accessible depuis la rue. Une vitrine s’ouvre sur la cuisine ouverte qui offre un coin repas convivial aux collaborateurs.
Enfin, le sous-sol est consacré au repos. On y trouve vdi, tv, console de jeux, un espace douche pour les plus sportifs entre midi et deux et un espace de réunion plus confidentiel.
Le curage de l’espace a permis de retrouver son aspect industriel d’origine, grâce, entre autres à la mise à nu de la structure en acier et d’un mur en brique qui donne une identité forte au lieu, et son sublimer par l’usage des matériaux tel que le béton gris et le chêne dans le but de conserver l’ADN du lieu ton en lui offrant une ambiance contemporaine élégante et chaleureuse.
